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        «BusinessProtect» aide à protéger les structures et configurations commer- ciales existantes.
   offensive de croissance trop agressive par exemple – nuirait à la réussite.
Pour éviter une prise d’influence soudaine par d’autres personnes, les partenaires ont décidé de protéger leur partenariat des coups du sort. Ils ont convenu qu’en cas de décès d’un partenaire, ses parts commerciales ne doivent pas atterrir entre les mains de tiers, mais être achetées par les par- tenaires survivants. Financièrement, cela a été rendu possible par une police «BusinessProtect» de Zurich.
Des relations que personne
ne pourrait remplacer
Le caractère irremplaçable de cer- tains, il en est également question dans l’histoire d’une entreprise commer- ciale à succès gérée par deux frères. Mais ici, la compréhension commune des affaires est éclipsée par le lien unique entre les deux partenaires. Ils font le commerce de marchandises qu’ils achètent directement auprès de producteurs dans le monde entier. Ces marchandises sont certes des biens grand public, mais seuls quelques fabricants les produisent selon la philosophie spécifique qui distingue
l’offre de l’entreprise commerciale. Pour constituer des stocks fiables de produits haut de gamme, les deux frères ont voyagé de longues années pour construire de solides relations de confiance avec les producteurs.
Aujourd’hui encore, les deux frères sont souvent sur les routes. Leurs affaires les mènent régulièrement dans des régions dangereuses. S’il devait arri- ver malheur à l’un des deux frères, cela mettrait en péril la moitié du chiffre d’affaires – et compromettrait l’exis- tence de la société dans son ensemble. Pour protéger l’entreprise, les frères
ont assuré une partie de leur chiffre d’affaires chez Zurich. Si l’un des deux frères devait mourir, le partenaire restant aura ainsi la possibilité de former une nouvelle personne sur plusieurs an- nées, sans que celle-ci ne doive être immédiatement en mesure de générer une contribution au chiffre d’affaires comparable à celle du frère décédé.
Zurich protège les trois entreprises
Les histoires de ces trois exemples ont beau être très différentes – tous leurs protagonistes ont trouvé une solution
chez Zurich avec la police d’assurance «BusinessProtect». Cette assurance de capital protège les entreprises des défaillances financières ou des pro- blèmes si l’un des membres essentiels de l’entreprise devait décéder. Les personnes assumant des fonctions essentielles peuvent notamment être le propriétaire d’un magasin, une respon- sable IT, un gérant, une directrice technique, un chef des ventes ou une responsable marketing.
Bien que la perspective soit peu agréable: en Suisse aussi, les person- nes qui perdent la vie avant l’âge de la retraite ne sont pas rares. D’après une enquête interne de Zurich par exemple, la probabilité qu’une personne essen- tielle sur deux décède avant l’âge de 64 ans est de douze pour cent. S’il y a trois collaborateurs essentiels elle augmente à 18 pour cent et s’ils sont six, à 32 pour cent.
Si l’une des personnes couvertes dans la police décède, Zurich règle la somme convenue rapidement et sans formalités. L’entreprise peut utiliser ce capital par exemple pour reprendre les parts de l’entreprise de la personne
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